La difficile nomination du collège des Commissaires européens dans un climat franco-allemand délicat
On connaissait la difficulté de la nouvelle présidente reconduite pour la Commission européenne à constituer un collège à parité parfaite homme femme et à répartir entre les Vice Présidents et simples commissaires, mais cela avait pu occulter les difficultés grandissantes que le (simple) Commissaire français Thierry BRETON entretenait avec Ursula von de LEYEN depuis notamment ses agissements soit disant non concertés avec certains interlocuteurs industriels étasuniens suite à ses règlements DSA DMA et les mécontentements allemands suite à la constellation IRIS.
Ces derniers temps, même si le courant ne passait même plus plus entre nous et T. Breton et son cabinet pour cause d'incompréhension car en fait en général sur le même diapason sans doute mal relayé par certains vecteurs malsains, nous saluerons les travail accompli par T. BRETON qui a plutôt effectué un travail géopolitique comme le demandait la Présidente et qui détenait le portefeuille le plus large, bien que simple commissaire.
Ces événements marquent une situation de malaise aggravé entre la France, l'Allemagne et les autres état membres dans de nombreux sujets et en général. Peut-être faudra-t-il un membre moins fort et plus "adulte" que "parent". Dommage que Michel BARNIER soit déjà sur un autre poste, même si des actions sur le Brexit ou tentatives de progressions notamment sur la finance, et positions européennes ont pu évoluer. Un vrai exercice de management de cycle.
Mais finalement, quand l'Allemagne ferme - peut être justement ses frontières
sans en prévenir les autres sans doute de peur de se voir contredit -
n'agit -elle pas comme T. BRETON dans le politique industrielle ?
FC