Colloque annuel de L'Université du Changement en Médecine : projets, financements, innovation, infrastructures
Dans le cadre de nos travaux sur la santé, et notamment nos événements avec les fabricants de médicaments, la moelle épinière, les solutions industrielles complémentaires du CEA à la médecine, et notre futu symposium sur l'obésité et la nutrition, nous étions présents lors du colloque UC2m - Université du Changement en médecine, sur les grands projets de sante avec des table rondes allant des politiques publiques aux applications industrielles.
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Nous avons noté, avec essais possibles de portée de solutions pour les politiques publiques ou les écosystèmes européens (commentaires FC) en décloisonnement avec d'autres domaines dont industrie et numérique
Une opportunité de généralisation des actions à partir de la molécule et non des organes, avec possible baisse de coûts. (On peut penser que les entreprises du médicament, attachés à la molécule, pourrait soutenir sauf constat parfois de création spécifique de produits pour maladie particulière alors que la molécule semble déjà exister); classifier les maladies selon les biologies. Mais attention à la généralisation des solutions qui fonctionnent ou non quand elles ne touchent parfois qu'à une partie, face apparente de l'iceberg du problème. Importance des biomarqueurs. Augmenter les vocations d'ingénieurs biotech, ne pas rougir de la recherche car 2 immunologies sur 3 viennent de la France
Programme transverse Inserm sur le microbiote (revoir compte rendu PCN Santé), pilotage Inrae, équipe de spécialistes à Necker pour étude des maladies génétiques intestinales. travail avec ERC (et non EIC, voir EIT santé, inscrire dans lettre commissaires santé et recherche), plate forme IMAGIN, relation entre maladies rares et inflammatoires et organes mais voir lien avec les maladies communes pour optimiser et pieux mutualiser !
décallage entre vitesse de la science et application, entre "soins" et recherche ( avancée de la recherche fondamentale et innovation transformée)
Problème de la place et de la rémunération des chercheurs, des internes qui ne se projettent pas vers des carrières scientifiques, lien perdus entre recherche et médecine, redévelopper le notion universitaire des CHU pour la recherche - qui rejoint d'ailleurs le projet d'Hopital Grand Paris Nord AP-HP présenté ensuite (sorte de fonctionnement des Universités de Technologie de Troye, de Compiègne, de Besançon, quid des universités européennes sur la santé)
Allemagne : clinical scientists, (pourquoi ne pas imaginer des consortium européens comme fait pour la cyber)
"Pour être fort en Europe, il faut etre fort en France ", (après échange, même si travail avec ERC, il s'agit surtout de la représentation internationale, avec risque de cristallisation d'abord nationale sans osmose européenne)
Attention au poids de la réglementation (mais sans voir que la norme crée aussi le marché). allusion à SECNUMCOULD pour la protection numérique
Insister sur l'implication des utilisateurs finaux dont les patients
Travailler en programme pluriannuel (d'où cadre européen)
Discussions sur la PMA en Espagne, sur les financements publics ou partagés, (sempiternelle question de l'absence de marché pour les startup qui vont donc voir ailleurs mais soit par absence d'intérêt de l'Etat, soit réponse non appropriée, cout trop fort ou non disponibilité, et rien n'empeche des cofinancement étrangers en lassant les Start up en France, voire en mettant des liens comme avec 3DS ou Michelin)
France être leader sur Télésurveillance (?) (à ne pas confondre avec télémédecine)