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Publié par I.R.C.E. - Institut de Recherche et de Communication sur l'Europe - Le Think et Do Tank des dynamiques européennes

La France s'oppose désormais au Mercosur pour sauver la face et défendre ses agriculteurs qui manifestent tout de même voyant son incapacité alors que près de 25 pays de l'UE y sont favorables, même l'Allemagne dont pourtant les agriculteurs manifestent tout autant. Le sénat français s'est opposé au CETA alors que l'accord fonctionne comme si le vote ne servait à rien, une nouvelle fois pour sauver l'agriculture. Quelle est donc la différence et surtout le point commun entre ces deux accords comportant des clauses commerciales et autres, sachant que l'accord avec l'Australie semble quant à lui assez controversé ?

Suite à nos événements parfois étonnants et discussions à vois basse... avec de nombreuses parties, et l'excellent site tout l'Europe, il faut comprendre que le Canada cherche surtout à orienter avec soin ses minéraux vers les pays qui en ont besoin et surtout vers l'Europe, que l'accord peut gêner les producteurs de viande français, même si la production est déficitaire toute production de méthane par ailleurs...,  quand les canadiens ne se seront mis aux normes et que la réduction des droits de douane ne concernent pas encore les voitures ni notamment le lait.

Par contre, l'accord avec le MERCOSUR et l'Amérique du Sud est le plus grand envisagé et  qu'il peut favoriser les producteurs de voitures, Allemagne en tête avec tous ses sous-traitants d'Europe centrale, mais où est également installé le groupe Stellantis, mais une nouvelle fois pas les producteurs de viande alors que les producteurs de lait et de vins en profitent. Les importations bovines brésiliennes semblent avoir été stoppées pour non conformité montrant ainsi un certain contrôle notamment sur les traitements antibiotiques qui agissent surtout pour compenser de mauvais traitements.

Même si la Commission européenne à direction allemande, autrefois en osmose avec E. Macron, prône l'ouverture, le point commun commercial doit être que les accords de droits de douane ne doivent pas pour autant déroger aux règles de normalisation et de clauses miroir.

Mais sans fermer les frontière et continuer à commercer de façon intelligente, le point commun de cohérence doit être que la solidarité doit pouvoir être identifiée et répartie entre les bénéficiaires des accords et ceux qui sont apparemment défavorisés au delà d'une simple comptabilité et leur signifier un certain regret. N'oublions pas que que l'industrie apporte une valeur ajoutée, l'agriculture a été la première  politique européenne avant la CECA. 

FC

 

CETA, MERCOSUR, même combat ?
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